Bertrand Moulin

En supposant qu’il existe un espace physique et qu’il corresponde ainsi à espaces de vie, que pouvons-nous savoir à ce sujet? Nous ne pouvons savoir que ce qui est requis dans afin de sécuriser la correspondance. C’est-à-dire que nous ne pouvons rien savoir de ce est comme en soi, mais nous pouvons connaître le type d'arrangement d'objets physiques qui résultats de leurs relations spatiales. Nous pouvons savoir, par exemple, que la terre et la lune et le soleil sont en ligne droite pendant une éclipse, bien que nous ne puissions pas savoir quelle ligne droite physique est en soi, car nous connaissons l'aspect d'une ligne droite dans notre espace visuel. C’est ainsi que nous en apprenons beaucoup plus sur les relations de distance espace physique que sur les distances elles-mêmes; nous savons peut-être que est plus grande qu’une autre ou qu’elle suit la même ligne droite que l’autre, mais nous ne pouvons pas avoir cette connaissance immédiate des distances physiques que nous avoir avec des distances dans nos espaces privés, ou avec des couleurs ou des sons ou autre données sensorielles. Nous pouvons savoir toutes ces choses à propos de l'espace physique qu'un homme né aveugle peut connaître l’espace visuel à travers d’autres personnes; mais le genre de choses qu'un aveugle-né ne pourrait jamais connaître l'espace de la vue, nous aussi ne peut pas savoir sur l'espace physique. Nous pouvons connaître les propriétés des relations nécessaire pour préserver la correspondance avec les données sensorielles, mais nous ne pouvons pas connaître la nature des termes entre les relations. En ce qui concerne le temps, notre sentiment de durée ou de laps de temps est notoirement un guide peu sûr quant au temps écoulé. Fois où nous sommes la douleur s'ennuie ou souffre passe lentement, des moments où nous sommes agréablement occupés à passer rapidement, et les moments où nous dormons passent presque comme s’ils n’existaient pas. Ainsi, dans la mesure où le temps est constitué par la durée, il y a la même nécessité de distinguer deviner une heure publique et une heure privée comme dans l'espace. Mais dans la mesure où comme le temps consiste en une commande avant et après, il n'est pas nécessaire de faire une telle distinction; l’ordre chronologique que semblent avoir les événements est, à notre connaissance, le même que l'ordre du temps qu'ils ont. En tout état de cause, aucune raison ne peut être donnée pour à supposer que les deux ordres ne soient pas les mêmes. La même chose est généralement vraie de l'espace: si un régiment d'hommes marchent le long d'une route, la forme du régiment aura l'air différents de points de vue différents, mais les hommes apparaîtront disposés dans le même ordre à tous points de vue. C’est pourquoi nous considérons que l’ordre est vrai aussi dans l’espace physique, alors que la forme n’est censée correspondre qu’à la l’espace nécessaire pour la préservation de la commande. En disant que l’ordre temporel que les événements semblent avoir est le même que le ordre qu’ils ont réellement, il est nécessaire de se prémunir contre un éventuel malentendu. permanent. Il ne faut pas supposer que les différents états d'objectifs physiques différents les jets ont le même ordre chronologique que le données sensorielles qui constituent les perceptions de ces objets. Considérés comme des objets physiques, le tonnerre et les éclairs sont simultané; c’est-à-dire que la foudre est simultanée au dérangement de l'air à l'endroit où la perturbation commence, à savoir, où est la foudre. Mais la donnée sensorielle que nous appelons entendre le tonnerre n'a lieu que la perturbation de l'air a voyagé jusqu'à l'endroit où nous sommes. De même, il faut environ huit minutes pour que la lumière du soleil nous parvienne; ainsi, quand on voit le soleil on voient le soleil d'il y a huit minutes. Pour autant que nos données sensorielles fournissent des preuves quant au soleil physique, ils fournissent des preuves quant au soleil physique de huit minutes depuis; si le soleil physique avait cessé d'exister au cours des huit dernières minutes, n’aurait aucune incidence sur les données sensorielles que nous appelons «voir le soleil». Cette af- guets une nouvelle illustration de la nécessité de distinguer entre données sensorielles et objets physiques.